Lettre de Frédéric du 20 août 1743, PC, t. II, p. 406.
Alexandre Brûckner, La Famille de Brunswick en Russie au XVIIIe siècle, Pétersbourg, Schmitzdorff, 1876, p. 3–4; Левин Л. Указ. соч., с. 124. Décret du 18 octobre 1742, PSZ, t. XI, nº 8641, p. 697. Décret du 11 octobre 1760, PSZ, t. XV, nº 11118 Sénat, p. 528–529.
James Brennan, Enlightened Despotism in Russia. The Reign of Elizaheth, New York, Peter Lang, p. 46.
Троицкий С.М. Русский абсолютизм и дворянство в XVIII в. Формирование бюрократии. М., 1974, ее. 258–259.
Cari Wilhelm Finck von Finckenstein, «Relation générale de la cour de Russie, 1748. La Russie d'Elisabeth vue par des diplomates prussiens (II)», Cahiers du monde russe et slave, 39 (4), 1998, p. 445.
Jean-Louis Favier, «Observations sur la cour de Russie, le ministère et le système actuel», Département des manuscrits de la Bibliothèque nationale russe de Saint-Pétersbourg, 961, Fr. FIV 186.
«Mémoire de Mardefeld sur les personnalités les plus importantes à la cour de Russie. La Russie d'Elisabeth vue par des diplomates prussiens (I)», Cahiers du monde russe et slave, 39 (3), 1998, p. 256–257.
Lettre de Mardefeld au roi, le 16 Janvier 1742, GStA, Rep. XI, Russland91, 44A, fol.36.
Mémoire de Valdancourt, AAE, M. et D., 1735–1759 Russie, t. 30, fol. 49–50. Voir aussi l'Histoire de mon temps de Frédéric II, Leipzig, Brockhaus, 1830, p. 200 sq.; d'ArgensonJoumal et mémoires, Renouard, 1868, 1.111, note de la p. 435.
Amelot avait en vain averti La Chétardie dans sa lettre du 4 février 1742, SIRIOjt. 100, p. 71.
Un ambassadeur, p. 19.
Dolgoroukov, op. cit., p. 156.
«Lebenslauf des vormaligen Grosskanzlers Grafen Alexei Bestuschef-Riumin», Magazin fur eine neue Historie und Geographie, Hambourg, Verl. Nicolaus Cari Buchenröders und Ritters, p. 1, 1769, p. 415–432.
Mardefeld, art. cit., p. 265.
Анисимов Е.В. Дворцовые тайны. Россия, век XVIII. М.-П., 2006, ее. 142–149.
La Chétardie à Amelot, le 12 juillet 1742, SIRIO, t. 100, p. 281–282.
Charles Eon de Beaumont, En Russie au temps d'Elisabeth, L'Inventaire, coll. «Valise diplomatique», 2006, p. 164.
Mardefeld, art. cit., p. 262.
Шаховской Я.П. Указ. соч., ce. 78, 88, 91–97.
Zinzendorff, art. cit., p. 693–694.
Schtscherbatov, op. cit., p. 75.
Finckenstein, art. cit., p. 447.
Mardefeld, art. cit., p. 258.
Finckenstein, art. cit., p. 450.
Бенуа А.Н. Царское Село в царствование Елизаветы Петровны. Спб., 1910, с. 230; Долгоруков. Указ соч., с. 467.
Manstein, op. cit., p. 461–464.
Mardefeld, art. cit., p. 264.
Mardefeld au roi, le 26 mai 1744, GStA, Rep. 96, 55C, fol. 178.
Nachlass Heinrich von Preussen, GStA, Rep. 92, ВIV, 15, fol. 10–22.
Le Chambrier au roi, le 29 décembre 1741, GStA, Rep. XI, Frankreich 89, fasc. 123, fol. 252.
Sur les nombreux déplacements d'Elisabeth et la composition de sa suite, voir le Kamerfurierskij Zurnal des années 1741–1761.
Nous avons puisé la description du couronnement dans le texte officiel publié par les soins de Stählin, Krönungsgeschichte oder umständliche Beschreibungdessolennen Einzugs undderhohen Salbung und Krönung Ihro kayserl. Majest der Frau Elisabeth Petrowna Kaiserin aller Russen […], Saint-Pétersbourg, Académie des sciences, 1745. Voir aussi la Gazette de Saint-Pétersbourg, n° 20, 1742 et le Kamerfurierskij Zurnal du mois d'avril 1742.
David à Salomon, Premier livre des Chroniques, XXVIII, 20.
Alain Guéry, «Le roi est dieu; le roi et Dieu», in L'État ou le roi. Les fondations de la modernité monarchique en France (XIVe — XVIIIe), Éd. de la Maison des sciences de l'homme, p. 27–47.
Pour une comparaison avec les entrées royales en France, voir par exemple Théodore Godefroy, Z.e Cérémonial francois, Cramoisy, 1649, 2 vol., et l'analyse de Robert Descimon, «Le corps de ville et le système cérémonial parisien au début de l'âge moderne», in Boone et al., Statuts individuels, statuts corporatifs et statuts judidaires dans les villes européennes (Moyen Age et Temps modernes), Louvain, Garant, 1996.
Stählin, Krönungsgeschichte, p. 5.
La description de Stählin n'est pas très claire: précédaient-ils le cortège ou l'impératrice?
À titre de comparaison, voir Richard A. Jackson, Vivat Rexl Histoire des sacres et couronnements royaux, Strasbourg, Association des Publications des universités de Strasbourg, 1984, p. 126; voir aussi Jean Goy, A Reims, le sacre des rois de France, Reims, Imp. Coulon, 1983, p. 25 sq.
Nous avons légèrement simplifié la formule.
Stählin, Krönungsgeschichte, p. 31–32.
Richard Wortmann omet ce détail dans sa description du couronnement inspirée de Stählin, Scénarios of Power, Myth and Ceremony in Russian Monarchy, Princeton University Press, 1998, t. I, р. 84 sq. Anna Ioannovna, la première souveraine russe intronisée pour régner, passa elle aussi derrière la porte sainte pour communier.
Kamerfurierskij Zurnal, avril 1742.
Jacob Stählin, Nachrichten von derMusik in Russland, in Theater, Tanz und Musik in Russland, Leipzig, Peters, 1982, p. 404–405.
Анисимов Е.В. Елизавета Петровна, с. 197.
Razumovsky, op. at., p. 4–6.
Sur ce déroulement, en particulier sur les cérémonies réservées aux femmes, voir l'analyse de Fanny Cosandey, La Reine de Fiance, symbole et pouvoir, Gallimard, 2000, p. 147 sq.
Stählin, Krönungsgeschichte, avant-propos.
Evgenij Anisimov ignore ce problème dans sa récente biographie d'Elisabeth, mais les auteurs de monographies sur Catherine II ne traitent guère davantage de cette question de la femme à la tête de l'Église, qui reste pourtant d'actualité sous ce règne.
Au verso de la médaille, il est marqué: «La providence de Dieu, par les fidèles sujets».
Richard Wortmann (op. cit., p. 90) souligne cette idée de continuité, mais il n'accorde à notre avis pas assez d'importantce à la teneur religieuse de la fonction impériale russe. Nous nous inspirons aussi d'Ernst Kantorowicz, Les Deux Corps du roi, Gallimard, 1989, en particulier p. 53 sq.
Lettre de Mardefeld, le 27 Janvier 1741, GStA, Rep. XI, Russland 91, 44A, fol.52.
Frédéric à Le Chambrier, le 29 décembre 1741, GStA, Rep. XI, Frankreich 89, fasc 123, fol. 250.
LaChétardieà Amelot, le 5 décembre 1741, Rambaud, op. cit., p. 610.
«Sur les négotiations du marquis de La Chétardie, ambassadeur de France en Moscovie, pour le maintien de la paix dans le Nord, sur le fondement d'un juste équilibre dans cette partie de l'Europe», par N.L. Ledran, premier commis des Affaires étrangères, le 2 juillet 1740, AAE, M. et D., 1.111, fol. 341–347.
Rescrit à Kantemir, ministre russe à Paris, du 6 février 1742, AV, t.I, p. 179 et Frédéric à Le Chambrier, le 9 Janvier 1742, GStA, Rep. XI, 89 Frankreich, fasc. 125.
Сенатский архив. 9 марта. 1742, ее. 334–335; Brennan, op. cit., p. 57.
«Le marquis de La Chétardie à propos du grand chancelier Bestoucheff», titre ajouté, texte daté d'avril 1748, AAE; CP, Russie, t. VII supplément, fol. 86–88.
AV, t.I, p. 328.
Manstein, op. cit., p. 452–453.
Fedor F. Martens, Recueil des traités et conventions conclus parla Russie avec les puissances étrangères, Petersbourg, Imprimerie des voies de communication, 1892, t. V, Allemagne, p. 353.
Traité cosigné par la Prusse, l'Autriche et l'Angleterre mettant un terme à la première guerre de Silésie. Ibid., 1.1, Autriche, p. 131–132.
Michel Antoine, Louis XV, Fayard, 1989, p. 382.
Bois, op. cit., p. 300–301.
Rapports des différents diplomates russes dans Л V, 1.1, p. 152 sq.; voir aussi les tractations avec La Chétardie du 17 mars 1742, AV, t.I, p. 291.
La Chétardie à Amelot, le 15 mai 1742, SIRIO, t. C, p. 178.
Lettre de La Chétardie, le 7 octobre 1742, de Berlin, RGADA, fonds 11, op. l, d. 777, fol. 1.
Un ambassadeur, p. 21.
Sur tout cela, voir Walizsevski, op. cit., p. 298–300. À lire, toutefois, avec précaution.
HHStA, Russica 34, 1746, fasc. 149, fol. 63.
Portrait de Dallion, AAE, CP, t. 50, fol. 279, vers lajin de 1746.
Pretlack transmit immédiatement ces propos à Vienne. Lettre du 21 mars 1745, HHStA, Russland II, Berichte 26, fol. 154. Voiraussi la Gazette de Saint-Pétersbourg du 22 mars 1745.
Lettre de Frédéric, le 26 décembre 1741, GStA, Rep. XI, Russland 91, 43A, fol. 425.
Mardefeld au roi, le 10 mars 1743, GStA, Rep. XI, Russland 91, 45A, fol.95.
Mardefeld au roi, le 7 mai 1743, GStA, Rep. XI, Russland 91, A 3d. fol. 47.
Prettlackà Ulfeld, le 5 mai 1746, HHStA, Russland II, Berichte 27 (avril-juillet 1746), fol. 67.
Lettre de Dallion, le 10 août 1743, SIRIO, t. CV, p. 58.