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Hanotaux. 211, 216.
Petit de Julleville. 60. – Sire de La Tremoille. – 94. – Regnault de Chartres. – «Elle ne voulait croire personne, mais faisait tout à son plaisir».
France. II. 21.
Hanotaux. 200.
Hanotaux. 200, 203–208, 218.
Procès. V. 139–140.
Hanotaux. 214. – «On ne trouverait point de paix, si ce n'etait par le bout de la lance». – France. II. 9–10.
Amiet. 31. – Lettre de Jouvenel des Ursins.
Amiet. 32. – «Jeanne, pertubatrice de la paix, abuseresse du peuple».
Michelet. 217. – «Je vous le dis avec assurance… je suis trahie et bientôt je serai livree à la mort. Priez Dieu pour moi, car je ne pourrai plus servir mon Roi, ni le noble noyaume de France».
Perceval de Gagny. 167. – Procès. I. 148. – Journal d'un bourgeois de Paris. 245. – «Rendez la ville au Roi de France!». – «Rendez-vous, de par Jesus, à nous tot».
Gasquet. 118. – «Que le Roi se montre! Les bons Français qui sont a Paris feront quelque chose cette nuit».
Procès. I. 57, 246. – Perceval de Gagny. I. 26, 168. – «En nom de Dieu! la place eût été prise». – Chronique de la Pucelle. 334. – J. Chartier. I. 109.
Perceval de Gagny. 168–169. – Chronique de la Pucelle. 465. – Vallet de Virville. II. 120.
Procès III 99 – J Chartier. I. 109, 112. – Journal d'un bourgeois de Paris. 246. – Perceval de Gagny. 170.
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Procès. III. 217–218. – Saint-Pierre-de-Moustier. – «Je ne suis pas seule: j'ai en ma compagnie cinquante mille de mes gens. Et je ne partirai point d'ici jusqu'a ce que j'aie pris la ville».
Amiet. 33. – «…Qu'il ne craint point les fantômes».
Procès. I. 114, 253. – Aux faussées de Melun. – «Tu seras prise avant… Saint-Jean». – «Quand je serai prise, que je meure tout aussitôt, sans longue épreuve». – «Et les Voix lui répétaient qu'elle serait prise et qu'ainsi fallait-il qu'il fût fait». – «Ne t'ébanis pas et prend tout en grè. Dieu t'aidera». – Gabriel Leroy. Histoire du Melun depuis les temps les plus recules jusqu'à nos jours. Melun: Drosne, 1887. Ch. XVI.
Procès. IV. 458. – Compiègne. Margny. Ouase. Guillaume de Flavy. – A. Lorel. La prise de Jeanne d'Arc. 209. – Perceval de Gagny. 175–176 – «Mettez-vous en peine de regagner la ville ou nous sommes perdus». – «Allez en avant! Its sont à nous!».
Perceval de Gagny. 175. – J. Chartier. I. 122. – Procès. V. 166. – Amiet. 36. – «La pressait de lui bailler sa foi, pour ce qu'il était gentil-homme». – «J'ai juré et j'ai donné ma foi à Autre qu'à vous et Lui en tiendrai mon serment!».
D'Achery. Specilegium. III. 823. – France. II. 174. – «…Que ce très puissant Due n'eût pas peur des Larves vomies par 1'enfer».
M. Duff et N. Hope. 191–194. – «Elles (les Voix) ne me dirent pas 1'heure a la quelle je serais prise. Souvent je leur demandais de la faire connaitre, mais elles ne répondirent. Si j'avais su… j'y serais allé, quoi qu'il dût advenir».
Procès. I. 13. – Albert Sarrazin. Pierre Cauchon, jude de Jeanne d'Arc. Paris: H. Champion, 1901. P. 26, 58, 108. – Evêque de Beauvais. – Vallet de Virville. Procès de condamnation de Jeanne d'Arc. 10.
Procès. I. 14. – Michelet. 230–231.
Procès. I. 8–10. – Chateau de Beaulieu. – Fanon. Hist, des tribunaux de 1'inquisition de France. Ch. II. – Henri Denifle et Émile Chatelain. Chartilarium Universitatis parisiensis. Parisis, ex typis fratrum Delalain, 1889. IV. 510. – Perceval de Gagny. Ill.
Marcellin Fornier. Histoire générale des Alpes Maritimes on Cottiènes, et partieulière de leur métropolitaine Ambrun. Paris: H. Champion, 1890–1892. II. 319–320.
Procès. V. 168. – Pastourel de Géraudan.
Procès. I. 109–110; II. 298; III. 121. – E. Gomard. Jeanne d'Arc au château de Beaurevoir. 1865, passim.
Amiet. 99. – «Je fus quatre mois environ à Beaurevoir. J'avais oui dire que ceux de Compiègne tous, jusqu'a l'âge de sept ans, devaient être mis à feu et à sang. Et moi, j'amais mieux a mourir que de vivre après une telle destruction de bonnes gens».
Procès. I. 150–151. – «Dieu vous aidera et pareillement ceux de Compiègne». – «Puisque Dieu aidera ceux de Compiègne, j'y veux etre». – «Sans faute, il faut que vous preniez tout en grè. Et vous ne serez point delivrée tant que vous n'aurez vu le roi des Anglais». – «Vraiment, je ne le voulusse point voir; j'amaisse mieux mourir que d'être mise en la main des Anglais».
Procès. I. 110, 151, 166. – Journal d'un bourgeois de Paris. 268. – Morosini. III. 301–303.
Procès. III. 136–137. – Albert Sarrazin. Jeanne d'Arc et la Normandie au XV-е siècle. Rouen: L. Gy, 1896. Ch. V. – Vallet de Virville. Hist, de Charles VII. Vol. II. 198. – François Valentin Bouquet. Notice historique et archéologique sur le donjon du château de Philippe-Auguste, bâti a Rouen en 1205, aujourd'hui tour Jeanne d'Arc. Rouen: E. Auge, 1877. P. 7 et suiv. – Bouvreuil.
Valerandus Varanius. De gestis Joannae Virginis, Francae egregiae bellatricis; poeme de 1516 remis en lumière, analysé et annoté par E. Prarond. Paris: Picard, 1889. Civ. IV. 100. – France. II. 201–202.
Amiet. 3.
Amiet. 66.
Duff et Hope. 226. – «Nous avons intention de faire un beau proces».
Hanotaux. 126. – Azincourt. – «Ce n'est pas nous qui avons fait cette tuerie, mais Dieu tout-puissant pour les péchés des Français». – Rabbe. Jeanne d'Arc en Angleterre. 13. – «Ma guerre est été appronvée par les saints prêtres».
Michelet. 226, 235.
Amiet. 103. – «…Si les Anglais la faisaient mourir, elle leur nuirait plus après sa mort que durant sa vie, et… malgrè sa mort, tout ce pourquoi elle été venue, s'accomplirait».
Amiet. 46–47.
Procès. III. 155; II. 132.
Procès. II. 18.
Amiet. 73. – «Houcepaillers».
Procès. III. 155, 163. – Sarrazin. 40.
Procès. III. 121–123. – Sir Humfrey. Comte Warwik. – «Quand ils seraient cent mille Godons de plus… ils n'auront pas le Royaume».
Procès. I. 35, 40–42. – Amiet. 71–73. – «Difformitate habitus».
Procès. I. 74–75. «J'aimerais mieux être tirée à quatre chevaux que d'être venue en France sans congé de Messire». – Procès. I. 62, 154. – «Vous dites que vous êtes mon juge; faites attention, car je suis, en verité, envoyée de par Dieu». – Procès. I. 84. – «Les Anglais perdront tout en France… je le sais aussi bien que je vous sais maintenant devant moi».
Procès. I. 120–122. – «Quel est le signe qui vint à votre roi?.. Est-ce or, argent ou pierre precieuse, ou couronne?». – «Je ne vous en dirai autre chose… Le signe qu'il vous faut, à vous, c'est que Dieu me délivre de vos mains, et est le plus certain qu'il vous sache envoyer».
Gasquet. 146. – «Passez outre!».
Procès. I. 93. – «Il faut dire ce que vous savez». – «Plutôt de dire tout ce que je sais, j'aimerais que vous me faissez couper le cou!».
Procès. I. 178. – «De 1'amour ou haine que Dieu a pour les Anglais… je ne sais rien. Mais je sais bien qu'ils seront boutés hors de France». – Amiet. 96.
Amiet. 94.
Amiet. 94–95. – «…Fleuraient-elles bon?». – «…Elles fleuraient bon… Je les ai accolees… Mais vous n'en aurez autre chose…». – Procès. 97. – «Saint-Michel était-il nu?». – «Pensez-vous que Dieu n'ait pas de quoi le vétir?». – Procès. 98. – «Comment savez-vous si ce qui vous apparait est homme ou femme?». – «Je les reconnais a leurs voix… Je vois leurs faces, et toujours dans le même habit…». – Procès. 95. – «Leurs cheveux sont-ils longs?.. Y a-t-il quelque chose entre leurs couronnes et leurs chevelures?».
Gasquet. 160. – «Ne parlez pas tous à la fois, beaux pères!». – Amiet. 79. – «…Faites 1'un après l'autre…».
Procès. I. 74–75. – «Toutes les lumières ne viennent pas à vous, mon beau seigneur!».
Petit de Julleville. 124. – «Ne vous trompez plus comme cela, ou bien je vous tirerai les oreilles!».
Gasquet. 156. – «Passez outre!».
Gasquet. 152. – «Vous avez done vu le sang anglais se repandre?». – «En nom de Dieu! si je 1'ai vu? Comme vous parlez doucement! Que ne partaient-ils de France et n'allaient-ils dans leur pays?». – «La brave fille! Que n'est-elle Anglaise!» – «Silence! Mais vous. avez-vous frappé?». – «Jamais! Je portais ma bannière…».
Petit de Julleville. 133. – «Pourquoi votre étendart fut-il porté au Sacre, plutôt que ceux des autres capitaines?». – «Il avait été à la pleine… il fut à 1'honneur!».
Procès. 156 – «Je crois… ce que mes Voix m'ont dit que je serai sauvée, aussi fermement que si j'y fusse déjà (au Paradis)». – «…C'est là une répouse de grand poids». – «Qui, et c'est pour moi un grand trésor!».
Procès. I. 65. —Jean Beaupère: «savez-vous si vous êtes en grâce de Dieu?». – Amiet. 163. – «Taceatis in nomine diaboli!». – «Si je n'y suis pas, Dieu m'y mette, et si j'y suis, Dieu m'y garde. Je serais la plus dolente du monde, si je savais ne pas etre en grâce de Dieu».
Gasquet. 149. – «C'est le Matin qui se mêle de dicter les résponses de 1'effrontée ribaude».
Duff et Hope. 235. – Guillaume Manchon: «à mon avis, il était impossible que, dans une cause aussi difficile, Jeanne suffit a se défendre elle même contre si grands docteurs, si habiles maitres, si elle n'eût été inspirée».
Petit de Julleville. 126–127. – «Pourquoi done aides-tu à cette méchante en lui faisant tant de signes? Par la morbleu, vilain, si j'aperçois plus que tu mettes peine de la deliver… je te ferai jeter en Seine!».
Procès. III. 138. – Jean Lohier. – Procès. II. 359. – «Nous assistâmes au proces, mais nous fûmes dans la pensée de fuir».
Gasquet. 155–156. «Que te semble, sera-t-elle arse?». – Massieu: «jusque ce jour, je n'ai vu que bien et honneur en elle, mais je ne sais quelle sera la fin». – «Prenez garde… qu'on ne vous envoie pas (à la Seine) boire de 1'eau plus que de raison…».
Nicolas Eymeric. Directorium inquisitorum. Venetiis: Apud Marcum Antonium Zalterium, 1595. III. – Cautelae inquisitorum contra haereticorum cavilationes et fraudes.
Procès. II. 342; III. 140, 156, 160, 181. – Nicolas Loisoleur. – Amiet. 133.
Procès. III. 49. – Jean d'Estivet, promoteur: «putain, paillarde!.. c'est toi qui as mangé harengs et autres choses à toi contraires». – «Le roi ne veut pour rien au monde qu'elle meurt de mort naturelle… 1'ayant chérement achetée».
Procès. I. 174–176 – «Je suis venue au roi de France, de par Dieu, de la Vierge Marie et de tous les benoîts Saints et Saintes du paradis et de 1'Eglise victorieuse de lahaut. Et à cette Eglise-là je soumets… tout ce que j'ai fait ou à faire». – Hanotaux. 306. – «Si 1'Eglise militante vous dit que vos révélations sont… choses diaboliques, vous en rapporterez-vous a 1'Eglise?». – Procès. I. 178. – «J'aime mieux mourir que de révoquer ce que Notre-Seigneur m'a fait faire». – Hanotaux. 306. – «Ne vous croyez-vous donc pas soumise a 1'Eglise… qui est sur la terre?». – «Oui, je me crois soumise, mais Dieu premier servi».
Amiet. 217. – «Elle sera prise… On 1'aurat jusqu'à 1'os!».
Procès. II. 350, 365; III. 51.
Procès. I. 36–378. – «Il me semble, vu la maladie que j'ai, que je suis en grand danjer de mort… Je vous requiers de me faire avoir confession et le Corps de mon Seigneur…». – «Si voulez avoir les Sacrements, vous devez vous soumettre à 1'Eglise». – «Si mon corps meurt en prison, je m'attends à vous que vous le fassiez mettre en terre sainte; si vous ne 1'y faites mettre, je m'en attends à Notre-Seigneur».
Procès. I. 384. – Amiet. 192.
Procès. I. 399–400. – «Vraiment, si vous me deviez arracher les membres et faire partir 1 âme hors du corps, je ne dirais autre chose et, si je vous disais quelque chose, après dirais-je toujours que vous me 1'avez fait dire par force». – Procès. I. 402–404. – «C'est un procès bien fait; la torture le gâterait». – France. II. 338. – «Donum taciturnitatis».