Procès. I. 450, 452. — «…Puisque, Dieu aidant, elle revient au giron de la Sainte Eglise, que d'un coeur contrit elle abjure ses erreurs… et afin que notre jugement soit comme un rayon de la face de Dieu… nous la délious par les sanctions ecclesiastiques des liens de l'excommunication dans lesquels elle était enchâtée… Nous la condamnons finalement et déinitivement à la prison perpétuelle avec le pain de douleur et l'eau de l'angoisse…». — Amiet. 332. — «Ad perpetuam carcerem muri… in pane doloris et aqua tribulationis».
Procès. II. 14. — «Or ça, entre vous, gens d'Eglise, menez-moi en vos prisons, et que je ne sois plus entre les mains des Anglaise». — Procès. II. 1. — «Menez-la où vous l'avez prise». — Hanotaux. 313. — «Je suis absolument sûr que la celude lue à la Pucelle n'était pas celle dont il est fait mention au Procès, car celle-ci est differente de celle que j'ai lue a Jeanne et qu'elle a signée! Я совершенно уверен, что прочитанное мной и подписанное Жанной отречение было вовсе не то, что объявлено было потом, на суде: это весьма отлично от того», — засвидетельствует впоследствии Жан Массие, или, другими словами, совершен был подлог. Что именно произошло, трудно понять, но нет никакого сомнения, что Жанна отреклась действительно, потому что и сама она, через несколько дней, в этом признается.
Amiet. 363.
Procès. II. 18.
Procès. II. 5; I. 455–457. — «Onques n'entendis que j'eusse fait serment de ne le point prendre… Il m'est plus licite… d'avoir habit d'homme, étant entre les hommes… Je l'ai repris pour ce qu'on ne m'a point tenu ce qu'on m'avait promis, c'est asavoir que j'irais a la messe et recevrai mon Sauveur et qu'on me mettrait hors les fers».
Amiet. 215. — Procès. I. 455–457. — «J'avais fait grande mauveseté… De peur du feu, j'ai dit ce que j'ai dit… Se qui était en la cedule de l'abjuration je ne l'entendais point… Je ne fis onques chose contre Dieu et la foi… Si je disais que Dieu ne m'a envoyée je me damnerais… Elles (les Voix) m'ont dit la grande pitié de la trahison que j'ai consentis… pour sauver ma vie… J'aime mieux mourir!».
До свидания! (англ.)
Procès. II. 5, 8, 305. — «Faites bonne chère! C'est fait, elle est prise!».
Amiet. 214.
Procès. I. 463. — «Jeanne est relapse… Ceci fait, à nous juges… de l'abondonner à la justice séculière».
Procès. II. 3–4, 8. — Martin Ladvenu, Isambert de la Pierre. — «Helas! me traîtra-t-on aussi horriblement et cruellement qu'il faille que mon corps net et entier qui ne fut jamais corrompu, soit aujourd'hui consume et reduite en cendres? Ah! Ah! j'aimerais mieux être decapitée sept fois que d'être ainsi brulee… Oh! j'en appelle devant Dieu, le Grand Juge, des grands torts et ingravances qu'on me fait!».
Procès. II. 34. — «Evêque, je meurs par vous!». — «Ah! Jeanne… vous mourrez parceque vous etesretournee a votre premier malefice». — Procès. I. 481–482. — «Or ça, Jeanne, vous nous avez toujours dit que vos Voix vous promettaient votre délivrance, et vous voyez maintenant comment elles vous ont deçue…». — «Vraiment, je vois bien qu'elles m'ont deçue».
Amiet. 218. — Procès. I. 482–484. — «Croyez-vous que ce soit le corps du Christ?». — «Oui, et Celui-la seul qui put me délivrer».
Sarrazin. Jeanne d'Arc et la Normandie. 369. — Amiet. 217. — Procès. IV. 459. — «Jehanne qui s'est faict la Pucelle, menteresse, pernicieuse, abuseresse du peuple, divineresse, superstitiuse, blasphameteresse de Dieu, presumptueuse, malcreant de la foi de Jhesuscrist, vanteresse, ydolatre, cruelle, dissolue, invocateresse de diables, apostate, scismatique et hérétique».
Procès. III. 159. — «Au nom du Seigneur… nous déclarons que toi, Jeanne, membre pourri dont nous voulons empêcher que l'infection ne se communique aux autres membres, tu dois etre rejetee de l'unité de l'Eglise; tu dois être livrée à la puissance séculiere… Attendu que… séduite par le démon, prince du mensonee, tu es retomblée dans tes erreurs et tes crimes, tel le chien qui retourne à son vomissement… Et nous te rejetons, nous te retranchons, nous t'abandonnons, priant cette meme puissance séculière de vouloir modérer envers toi sa sentence, en deçà de la mort et de la mutilation des membres…».
Eymeric. III. 554. — Bernard Gui. Practica inquisitionis hereticae pravitatis. III. 144.
Petit de Julleville. 164.
Procès. II. 19; III. 177, 186. — «Quoi donc, prêtres, nous ferez-vous diner ici?».
Petit de Julleville. 165. — Bailli, Jean de Bouteiller. — «Fais ton affaire!».
Procès. III. 53. — «Hérétique, relapse, apostate, idolâtre».
Procès. III. 53. — «Ah! Rouen, j'ai grand'peur que tu n'aies a souffrir de ma mort!».
Procès. II. 6, 191, 375. — Jean Alespée: «Je voudrais que mon âme fût où je crois qu'est l'âme de cette femme». — Shakespeare. Henry VI. I. 1. — Michelet. 282. — «Episcopus Belvancensis flevit».
Procès. II. 6, 20; III. 186.
Petit de Julleville. 167. — «Non, mes Voix ne m'ont pas trompée… Elles étaient de Dieu!». — Michelet. 285. — «Quod voces… erant de Deo… nec per has fuisse deceptam».
Procès. III. 398. — Michelet. 286.
Journal d'un bourgeois de Paris. 270–296. — Procès. III. 191.
Amiet. 222. — Procès. 159–160. — Basin. Hist. de Charles VII. I. 83.
Procès. II. 366.
Michelet. 287. — «Nous sommes perdus: nous avons brule une sainte!».
Procès. I. 485, 496; IV. 403.
Procès. I. 409.
Père Henri Denifle et Émile Chatelain. Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France. Paris, 1897. XXIV. 14. — «Vade ac bonae famae tuae odor ex laudabilibus actibus tuis latius diffundatur».
Amiet. 208.
France. II. 429.
Ayroles. Ch. IV. — Charles Marie de Robillard de Beaurepaire. Les Etats de Normandie sous la domination anglaise. Évreux: Impr. de A. Hérissey, 1859. P. 185–188.
Procès. V. 276, 112; II. 82, 91. — Ayroles. 607. — Jean Bréhal. — Amiet. 279.
Procès. 314. — Ayroles. 402–403. — Lanéry d'Arc. 247. — «Elle (Jeanne) était abjecte et tres pauvre, et paraissait presque idiote en tout ce qui ne concernait sa mission… Ce n'est qu'aux vertus de son Roi que le Seigneur accorda le secours de la Pucelle».
Procès. III. 355. — Amiet. 279. — «Le jugement déclare injuste, mal fondé, inique… cassé et frappé de nullité».
Amiet. 279.